Un héritier est libre d’accepter ou de renoncer à une succession. Si l’héritier accepte, il recevra sa part du patrimoine du défunt, qui inclut des biens mobiliers et immobiliers, des capitaux, etc., part qui peut cependant parfois comprendre également des dettes d’un montant plus ou moins important. À l’inverse, s’il renonce à sa part de succession, il sera considéré comme s’il n’avait jamais été héritier. Conformément à la loi israélienne relative aux successions, la procédure de dévolution successorale s’effectue de deux…
Un héritier peut-il renoncer à une succession en Israël ?
